hanneling public du 5 mai 2020 –Canalisation par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire
Bonsoir à vous, bonsoir à vous tous.
Je suis Melchisedech.
Je suis un ancien roi, un ancien prêtre. Mon nom signifie roi de Paix, roi de Justice, c’est de cela que je souhaite vous entretenir ce soir, dans l’alchimie de vos âmes aussi, dans les évènements que vous traversez, ce que je vais vous dire est et restera juste quel que soit le temps que vous traversez.
Nous avions parlé d’enseignements, allons-y, enseignons ensemble car vous êtes aussi les maîtres et les disciplines de votre propre Moi Supérieur.
Alors, vous avez votre propre enseignant n’en doutez jamais.
A chaque instant vous avez un enseignant disponible à vos côtés et il n’est nul autre que vous dans votre plus grande élévation d’âme.
Je vais réitérer ce soir un enseignement que j’ai déjà donné à ce canal mais qu’il nous paraît utile de vous fournir.
Les énergies qui prédominent ce monde sont des énergies de transformations : « trans-formations ». Le terme « trans » signifie au travers : trans-formation, trans-percer, trans-former, trans-cender aussi. Alors la formation par la traversée c’est ce que vous êtes en train de faire.
C’est le choix majoritaire de votre planète de traverser ces premiers temps, ces premiers temps de changement de paradigme, de changement de règles tels que vous les vivez en ce moment.
Alors d’abord il fallait vous poser, il fallait vous reposer, être dans une certaine acceptation et confiance dans ce qui se passait.
Cela n’a pas été facile pour tout le monde, ça ne l’est pas encore pour beaucoup cette acceptation car, effectivement une part de vous souhaite, pas se venger mais demander des explications, beaucoup d’explications.
Nous avons déjà exprimé ceci par ce canal mais les énergies que vous vivez dans ce mois d’énergies, ce sont des énergies où « les juges seront jugés », où ceux qui auront essayé d’imposer une vérité seront révélés dans le fait qu’ils ont dit ou non la vérité ; mais vous aussi vous faites partie de ces juges parfois.
Le jugement amène toujours à la peur.
C’est la démonstration que je souhaite peut-être vous apporter ce soir si vous voulez bien entendre ces mots.
Vous êtes maintenant matures, j’allais dire adultes, en tant qu’âmes. Vous êtes tous des anciennes âmes, il y a très peu de très jeunes âmes sur cette terre actuellement.
Il y a beaucoup d’anciennes âmes, de gens, d’entités, d’énergies – vous appelez ça comme vous voulez – qui sont là depuis très longtemps, ou qui ont déjà vécu beaucoup d’existences et, vous avez désiré vivre dans ce temps-là pour vivre ce que vous êtes en train de traverser là, maintenant, cette explosion d’énergie, cette remontée à la surface des valeurs de l’existence, l’arrivée d’un nouvel âge d’or diraient certains mais avant tout, l’or à l’intérieur : l’Amour de Soi et l’Amour de l’autre car bien sûr il n’y a pas d’autre.
Alors dans cette période j’allais dire de maturité, c’est ainsi que je m’exprime, il y a deux voies, deux concepts très simples et en même temps très différents, mais relativement incompatibles : la peur ou l’amour.
Comment passer de l’un à l’autre ?
Quelles énergies pouvons-nous vous conseiller dans ces moments ?
J’entends cela. Bien sûr, vous le devinez ce que nous vous conseillons c’est d’aller vers l’amour mais, comment aller vers l’amour ?
Eh bien voyons ces deux chemins.
Le premier chemin, la voie commune pour chacun d’entre vous ce sera d’utiliser son propre discernement, sa propre énergie, sa propre réflexion donc d’utiliser le fait de grandir par votre propre énergie, votre propre désir à grandir, autrement dit à regarder les choses de plus haut, avec plus de hauteur pour vous et pour la multitude de tout ce que vous êtes, de tous ceux que vous êtes aussi.
Le premier chemin de la réflexion vous amène – partons du côté de la peur – parfois au jugement.
Mais quel est ce jugement ?
Le jugement vous oblige à créer un camp du bien et un camp du mal, un camp de ceux qui sont du bon côté et un camp de ceux qui seraient du mauvais côté.
Ce camp-là c’est bien sûr et avant tout oublier que vous êtes UN, une Unité de formes, d’énergies, de concepts presque j’allais dire, dans la même expérience terrestre, dans la même expérience d’incarnation.
Si vous allez sur ce chemin du jugement, vous perdez l’énergie de tout ce que vous avez jugé. Je vais m’expliquer ici.
Si vous choisissez qu’une personne a raison et qu’une autre a tort, cette personne qui a tort vous la mettrez dans un camp, le camp du mal et alors vous allez l’écarter complètement, mais c’est une part de vous que vous écartez complètement.
Ecoutez mon exemple.
Admettons que sur la planète une question vous soit posée dont la réponse est soit oui, soit non.
Admettons qu’une moitié de la planète ait choisi oui et que l’autre moitié ait choisi non
– peu importe la question, une moitié de la planète a choisi oui, l’autre moitié de la planète a choisi non
– vous allez vous couper de tous ceux qui n’ont pas fait le même choix que vous dans un premier temps. Vous allez être dans ce jugement-là déjà parce que vous aurez été obligé de juger.
Alors en vous coupant de la moitié de la planète, vous allez vous couper de la moitié de votre pouvoir divin créateur, vous allez vous couper de la moitié de l’Être divin, du dieu terrestre associé au Dieu divin bien sûr que vous êtes, car vous n’êtes pas Dieu mais l’Essence de Dieu, cela vous donne quasiment la même énergie.
Mais pour garder ce contact avec le Père supérieur allais-je dire en bon prêtre, mais pour garder le contact avec le Père il ne vous faut pas ignorer un de vos frères ou un des fils.
Ignorer un seul de vos frères, une seule de vos sœurs et vous quittez la famille divine instantanément *.
(note de sylvain : cela signifie que vous vous coupez un peu du « pouvoir du TOUT » pas que Dieu va vous ignorez, pas du tout )
Ce qui est exprimé ici : quand vous créez un camp vous perdez une partie de l’énergie.
Vous avez toute votre énergie quand vous intégrez tous les possibles à l’intérieur de vous, pas qu’une partie des possibles, quand vous intégrez tout, quand vous acceptez, pas forcément tout on va voir tout à l’heure mais en tout cas, quand vous acceptez l’augure de quelque chose.
Cette portion oui/non de la planète coupée en deux vous coupe déjà de la moitié de votre pouvoir dans mon exercice mais, admettons qu’une autre question soit posée à ceux qui ont fait un premier choix, un autre oui et un autre non : un autre 50 % , vous allez encore vous couper en deux. A ce moment-là vous n’avez plus qu’un quart du pouvoir divin qui est le vôtre.
Continuez encore, jugez, jugez, jugez, jugez en permanence et vous allez finir par être, j’allais dire pas inutile vous ne l’êtes jamais mais en tout cas, votre liaison à la divinité sera très très très faible et vous allez vous mettre à subir le monde.
Plus vous jugez, plus vous vous séparez et plus vous vous séparez, plus vous perdez une capacité à pouvoir changer les choses, une capacité individuelle mais aussi une capacité collective à changer les choses, à les modifier ensemble car vous êtes bien dans une illusion qui sert à engendrer l’Amour sur la Terre et ceci est une œuvre commune.
Le jugement vous amène déjà une perte de pouvoir vous l’aurez compris mais ensuite, ce jugement va en plus vous amener à la culpabilité.
Vous allez vous sentir coupable d’avoir laissé un de vos frères ou une pensée même dans un camp et une autre pensée dans un autre camp.
Pourquoi ?
Dans un premier temps les amis, parce que vous ne savez pas si vous avez fait le bon choix souvent sur cette planète. Quand vous faites un choix : « Est-ce que j’ai fait le bon choix ? Est-ce que je n’ai pas fait le bon choix ? » vous êtes déjà en train de vous séparer en deux tout seul en disant cela, rien que sur vous-même.
Encore une fois vous créez un camp, une séparation et il y a ici une culpabilité, une indignité « Qui suis-je pour juger ? »
Cette culpabilité, cette indignité va encore vous affaiblir.
Vous n’êtes coupable de rien dans un monde d’illusions comprenez-le dès maintenant, vous n’êtes coupable de rien dans une illusion.
Bien sûr il y aura tout de même un jugement de l’homme dans la forme et un jugement des dieux dans la méta-forme, c’est ce que vous appelez le jugement divin.
Cela existe bel et bien cependant, quand vous passerez l’autre monde il n’y aura plus ce jugement-là.
Vous êtes celui qui juge, toujours, c’est l’être incarné qui juge et même au moment où vous partez, vous continuez encore pendant un certain temps à vous autocritiquer comme cela même de l’autre côté du voile, de cette illusion. Vous continuez à jouer cette idée de culpabilité à tort.
La culpabilité va vous amener inévitablement à la peur : la peur d’être pris sur le fait puis, la peur de manquer si vous avez fait le mauvais choix, la peur de perdre un être cher si vous avez pris la mauvaise décision, la peur de perdre des amis, la peur, la peur, la peur, tout le temps cette peur.
Elle est due uniquement au fait d’avoir choisi, ce n’est pas le bon terme, mais jugé en séparant car, vous allez voir nous allons parler de choix maintenant.
Choisir en séparant cela s’appelle un jugement, vous créez un camp : le bien et le mal.
Choisir sans séparer, on peut appeler cela le discernement ou le choix tout simplement du même mot.
Faire un choix c’est l’autre voie.
Souvenez-vous du chemin : réfléchir, culpabilité, jugement, souvent associée la peur.
De l’autre côté nous allons passer à : réfléchir, choisir, changer son état d’être et aller vers l’Amour.
Alors voyons ce chemin ensemble si vous le voulez bien, plus complètement, plus tranquillement.
Faire un choix c’est l’autorité de la règle n° 1 de l’univers, – celle sur laquelle nous intervenons et comprenez ma parenthèse quand je dis cela : nous interviendrons si cette règle est brisée ; j’insiste encore fois, nous interviendrons si cette règle est brisée
– la règle du libre arbitre.
En tant qu’être divin incarné sur Terre, en tant qu’être royal, souverain car vous l’êtes, à l’origine des temps et pour toujours souverain, eh bien votre liberté de choix c’est l’exercice du libre arbitre mais choisir ce n’est pas forcément condamner.
Vous pouvez aller à droite et accepter que certaines personnes aillent à gauche.
C’est leur choix.
Dans le jugement, alors que vous avez séparé, vous essayez encore de ramener un maximum de personnes dans votre camp, dans votre positionnement.
Si vous faites un choix avec le libre arbitre, c’est ce que vous êtes, c’est ce que vous reflétez qui amènera les gens à vous, non parce que vous aurez prêché mais parce que vous serez ce que vous dites, ce que vous avez choisi.
Vous allez l’incarner petit à petit dans un état d’être justement et un être qui brille on le suit toujours, souvent en tout cas.
Le choix n’implique pas de ne pas aider, de ne pas informer.
Le choix c’est cette énergie,
– j’en parle beaucoup de ce choix parce que c’est ce que vous allez vivre peut-être jusqu’à la fin de cette année
–, le travail sur la liberté de choix, un des grands mots clés que vous êtes en train de ramener dans ce monde cette année.
Je sais qu’il y a parmi vous beaucoup d’amis Français alors souvenez-vous comme cela a été écrit à l’origine : Liberté – Egalité.
En connaissant votre histoire parce que j’y étais, vous saurez que Fraternité a été ajoutée ensuite mais la fraternité ne se négocie même pas dans ce que je suis en train de vous dire.
Vous êtes des frères et des sœurs, point.
C’est ce que vous êtes, vous n’avez même pas à devenir cela vous l’êtes mais l’égalité, la liberté surtout, voilà quelque chose que vous allez à nouveau, à nouveau j’insiste, incarner ; cette « liberté des étoiles », je ne sais pas si le mot résonne en vous.
Je ne sais pas si cela résonne encore pour certains galactiques parmi vous qui sont venus s’incarner dans ces temps précieux.
La liberté et l’égalité sont ce qui est en train de changer et ceci se produit par choix.
Vous n’êtes plus à l’époque du subir, vous êtes à l’époque des choix conscients, j’insiste choix conscients.
Alors dans votre discernement vous allez faire un choix.
Vous pourrez exprimer votre choix, vous pourrez argumenter votre choix mais je vous en supplie, ne faites pas semblant de choisir tout en condamnant ceux qui ne font pas votre choix. C’est leur choix, ne brisez pas leur propre libre arbitre.
Vous ne souhaitez pas que le vôtre soit brisé alors ne brisez pas le leur.
Je dis cela parce que nous vous voyons, nous vous entendons et nous voyons que vous dites : « chacun fait le choix qu’il veut MAIS » et rien qu’en disant cela, vous êtes déjà en train de retourner du côté de la peur.
Je l’entends, je le comprends cet exercice c’est pourquoi,
– dans ce que je suis en train de vous enseigner car c’est bien un cours que je suis en train de faire – je vous enseigne à faire attention à choisir, argumenter sur le côté positif de votre choix et laisser l’autre à son choix.
C’est difficile pour vous de comprendre cette notion de « je choisis sans juger ». En fait c’est ce qu’on appelle le discernement, l’alignement, « avec quoi, quelle énergie je me sens aligné ? »
Vous savez parmi vous – par exemple –, un choix assez simple à comprendre s’appelle : la ville ou la campagne ?
Parmi vous beaucoup en ce moment désirent être ou retourner à la campagne, alors que d’autres désirent rester dans une ville.
Qui a raison ?
Les deux.
C’est cela que vous devez comprendre dans le choix.
Oubliez cette idée de qui a raison, qui a tort.
Il est possible qu’un ait raison et un ait tort mais la vérité cela change souvent vous savez.
Vous l’avez remarqué, une vérité c’est quelque chose de malléable en fonction du temps, en fonction de l’époque.
Il n’y a pas de vérité scientifique, il n’y a qu’un alignement dans le moment présent.
Avec quoi êtes-vous aligné maintenant ?
Peut-être que maintenant, si je reprends ce choix la ville ou la campagne, en ce moment vous allez dire campagne par exemple mais peut-être que dans dix ans à la campagne, votre choix va se tourner vers la ville.
Avez-vous fait une erreur ?
Avez-vous fait le mauvais choix en allant à la campagne ? Bien sûr que non, c’est ce avec quoi vous étiez aligné dans le moment présent.
Votre travail, votre œuvre personnelle passe par comprendre avec quoi est-ce que je suis aligné ?
Je pose ce « avec quoi je suis aligné », je peux parler de ce avec quoi je suis aligné, je peux donner et argumenter, je ne crée pas de camp du bien et du mal.
S’il y a une bataille à faire et vous la ferez, vous ferez cette bataille pour être libre de choisir. Mais ce n’est pas une bataille pour dire ce qu’il faut choisir, ceci est un jugement mais pour laisser à chacun la possibilité de choisir afin d’arrêter de subir des lois, qui sont particulières tout de même humainement parlant.
Non que votre loi soit injuste ou juste, on repartirait ici dans le jugement mais de réaccorder une liberté de choix, de repartir sur cette essence presque canalisée, j’insiste sur quasiment canalisés qu’étaient ce que vous avez appelé « les Droits de l’homme » :
Tous les hommes naissent libres et égaux en droits.
Libres et égaux en droits : Liberté – Egalité, vous l’avez compris, c’est vers cela que vous tendez. Alors ceci demandera de multiples batailles, pas violentes s’il vous plaît. Si vous entrez dans la violence vous allez faire le jeu du jugement et finalement vous allez perdre.
Il ne s’agit pas d’entrer dans la violence c’est ce qui est attendu de la part d’énergies qui souhaiteraient que vous alliez vers la peur.
C’est vraiment dans une espèce de fraternité réunie, forts ensembles, sans violence que vous allez pouvoir changer le monde et aller vers la liberté, vers l’égalité, ensemble.
Donc cette première étape du choix consiste à s’autoriser à sentir avec quoi vous êtes aligné.
Comment faire ?
En vérité vous savez avec quoi vous êtes aligné mais comme vous êtes habitué aux réflexes du jugement, aller vers ce vers quoi vous êtes aligné peut vous faire peur ; eh oui, car aller vers l’Amour, vers l’alignement, vous demande de quitter d’abord la zone de la peur et pour quitter la zone de la peur vous allez retraverser la zone de la culpabilité, puis retraverser la zone du jugement, puis retourner à la réflexion et faire un choix.
Retournez sur ce chemin-là, vous devez quitter l’ancien habit pour mettre un nouvel habit.
C’est cela qui est en train de se passer donc, vous allez peut-être pour beaucoup d’entre vous partir de la peur : « peur oui mais je me sens coupable » pensée d’indignité, je me mets à m’autojuger ou à juger à nouveau « bon, je m’observe en train de juger », je repars dans un niveau de réflexion et je me dis « non maintenant je choisis ».
Voyez, vous venez de faire à nouveau le chemin inverse, vous venez de passer de la peur et vous vous retournez sur le chemin de l’Amour.
Pourquoi ?
Parce qu’une fois que vous avez fait un choix et que vous êtes aligné avec ce choix, c’est-à-dire que vous en êtes aussi la représentation, que vous allez agir en fonction de ce choix, aligné avec ce choix j’insiste, vous allez changer votre état d’être, vous serez en Paix avec vous-même.
Vous serez en paix avec vous-même pas coupable, en paix avec vous-même et quand vous serez en paix avec vous-même car tout simplement l’Amour va se déployer en vous, cela va être simple de déployer l’Amour chez un être qui est en Paix, il ne pourra faire que rayonner cet Amour.
Reprenons ce chemin de la peur à l’Amour :
la peur – la culpabilité – le jugement – la réflexion – le choix – l’état d’être – l’Amour.
Aujourd’hui vous pouvez être au milieu du plateau de la balance pour beaucoup de choses, vous êtes au niveau de la réflexion : la réflexion de votre cœur, la réflexion de votre tête, les deux doivent être alignés cela aussi est nécessaire.
Vous aurez compris ce chemin, soit je réfléchis : je réfléchis/j’émets un jugement, j’émets un jugement/je crée une culpabilité ou une indignité et je vais me mettre dans la peur et là je vais me mettre en colère, je vais essayer de tout faire pour qu’un maximum de personnes soit dans mon camp, ou vous repartez depuis la réflexion : vous choisissez et vous pouvez même vous battre pour que tout le monde puisse choisir.
C’est important, il ne s’agit pas de faire un non-mouvement non plus, dans les deux cas il y a des actions à poser.
Vous choisissez, ce choix vous amène à un état d’être individuel et collectif et cet état d’être individuel et collectif amène une sorte de paix et cette Paix va vous mener à l’Amour.
Si vous êtes dans la peur aujourd’hui alors faites le chemin inverse mais comprenez les buissons que vous allez traverser.
Ceux qui sont dans la peur vont retraverser une zone de culpabilité, d’auto-jugement, d’autocritique, d’auto-dévalorisation puis ensuite ils repartiront sur un jugement mais ils feront un jugement différent, ils changeront de camp, ça reste un camp, ça reste un jugement
– peut-être même que certains dans cette étape croiront choisir alors qu’ils seront encore dans le jugement
– puis ils se mettront à réfléchir, à faire un choix.
Ce choix qui va être aligné, intégré en eux en quelques semaines, en quelques jours, va devenir un état d’être et cet état d’être va assez radicalement devenir la Paix et l’Amour et la Joie.
Alors quand nous disons « les juges seront jugés » cela a un aspect aussi karmique pour dire que tout ceci se règle.
Vous en êtes dans ce moment d’une existence, de somme d’existences où les pendules sont remises à zéro.
Vous êtes dans ce moment où repartir comme avant va être très difficile.
Peut-être que certains parmi vous auraient envie de choisir ce confort de ce qu’était le monde avant mais lisez en vous, lisez dans votre intérieur, dans votre cœur.
Il y a quelque chose qui vous dit que non parce que ce n’est pas fraternel.
Même parmi vous il y a peut-être des gens très aisés, très confortables dans leur situation avant ce qui est en train de se passer et qui ne veulent pas perdre leur confort mais, une part d’eux sait que ce n’est pas très fraternel, pas très partagé alors vous n’êtes pas aligné avec ce choix donc, vous êtes encore du côté du jugement.
Et choisir cela ne veut pas dire non plus être dépossédé de tout ou du tout, c’est au contraire reprendre ses parts divines, reprendre ses actions divines en Soi, reprendre son pouvoir personnel.
Et finalement votre choix, quand vous choisissez au lieu de juger, a beaucoup plus d’impact sur votre monde que quelqu’un qui juge.
Le juge – ment (en deux mots). Le choix, qui laisse les autres choix, vous permet d’avoir une action plus juste, plus alignée.
Quand vous choisissez une quête,
– sans aller dans l’extrême ce que je vais vous dire est évidemment et éminemment symbolique
– mais quand vous choisissez une quête, soyez prêts à mourir pour cette quête, j’insiste sur le terme symbolique, c’est vraiment à mourir à vos anciennes réflexions pour aller vers cette quête.
Soyez prêts à reconnaître qu’il existe une autre version de vous qui va s’aligner, qui va être un nouvel état d’être plus grand, plus fort, plus en santé naturellement, en coordination avec la nature. C’est la nature qui guérit.
Dans beaucoup de vos remèdes et c’est l’alchimiste en moi qui vous parle, dans beaucoup de vos remèdes, la médecine a consisté à vous donner des produits qui calment vos symptômes le temps que la nature fasse le travail.
Donc en fait, beaucoup de vos remèdes dits symptomatiques sont des remèdes qui permettent à la nature de faire son œuvre, mais ce ne sont pas les remèdes qui vous ont guéri, c’est vous, c’est votre nature véritable.
C’est ce que vous êtes intrinsèquement qui vous a guéri dans beaucoup de situations, pas toutes, il y a des exceptions soyons très clairs mais souvent, c’est vous-même qui vous guérissez.
Eh bien cette homéostasie, ce principe de fonctionnement et de stabilisation du corps existe aussi dans toute votre existence.
Si vous laissez votre être intérieur, si vous le pacifiez, si vous le mettez en Paix, de la même manière que vous prenez un médicament antidouleur prenez peut-être des pensées anti-jugements et à ce moment-là, dans cette pacification-là vous pouvez à nouveau rechoisir, vous pourrez à nouveau restabiliser votre esprit, restabiliser votre pensée et aller vers quelque chose de plus simple, de plus pur.
J’insiste sur « de plus simple » parce que vos pensées sont devenues si complexes que vous avez fini par en perdre le sens de certaines valeurs. C’était aussi le sens de cet arrêt de la planète.
C’était le sens de cet arrêt pour beaucoup d’entre vous, de cette pause dans un monde en folie parfois, revenir à ce qui intrinsèquement en chacun d’entre vous ait sa propre valeur, sa propre énergie, son propre alignement, la chose avec laquelle il se sent en adéquation, l’esprit, l’énergie avec laquelle il se sent en principe vital dans son énergie.
Quand vous êtes aligné vous recevez beaucoup d’énergies, énormément d’énergies, de l’énergie de guérison mais aussi de l’énergie de manifestation. Vous devenez petit à petit l’or, vous devenez la particule de Lumière, vous devenez une part du Créateur plus pur, plus entier.
Vous rentrez dans une écoute interne de Celui qui est le Père, vous Le comprendrez mieux et vous pourrez mieux discuter avec l’énergie, avec le principe vital universel finalement que vous appelez la Vie, la Source, l’Être divin.
Pour mieux communiquer avec Lui ne vous séparez pas de vos frères.
Cela ne signifie pas à les voir tous les jours ou accepter chacun de leurs choix, soyons très clairs là-dessus. Cela signifie accepter qu’ils aient fait un autre choix, mais accepter que les autres aient fait un autre choix ne signifie pas qu’ils devaient faire le vôtre.
C’est différent. Vous n’avez pas à suivre ceux qui n’ont pas fait votre choix mais à accepter qu’ils aient fait un autre choix, oui. C’est leur choix, c’est leur existence, c’est la manière dont ils ont décidé de traverser cette existence, de traverser ces moments que vous êtes en train de vivre.
La justice mes amis, mes frères, mes sœurs, est le principe qui est à l’œuvre actuellement. Cette pression anti-liberté que vous avez commencé à subir il y a quelques centaines d’années, cela ne date pas d’hier, cette pression va être un peu libérée, tranquillement et de plus en plus par votre action consciente, par vos choix conscients, j’insiste par des actions, pas des actions violentes mais des choix d’achats, des choix de pratiques, des choix d’œuvres, des choix peut-être même de gouvernements, ceci vous appartient mais ce sont vos choix qui vont changer le monde, pas vos colères, pas vos jugements ; eux ne feront qu’engendrer plus de colères, plus de jugements, plus de culpabilité, plus de séparation.
Il est temps que ce monde entre en Paix. Dans ces moments-là mes amis, j’insiste, si les règles du libre arbitre sont trop fortement impactées nous
– et quand je dis « nous » je parle des Maîtres d’Ascension
– nous interviendrons.
Je veux aussi dire que vos frères galactiques interviendront de manière physique ou psychique pour que cette règle ne soit pas brisée.
C’est important dans cette époque de transformation des énergies que cette règle soit absolument respectée : le libre choix de chacun.
Si cette règle n’était pas respectée pour une raison ou pour une autre
– ce n’est pas très important dans une somme d’existences, vous finiriez par y retourner – mais nous voyons ici, de notre emplacement
– on va dire psychique en tout cas, une possibilité de « perte de temps » je dirais, une perte d’opportunité tellement dommage, tellement dommage parce que vous êtes dans un moment où vous pouvez vous transformer globalement tous, ensembles, dans l’Unité, dans cette Unité du Saint-Esprit de l’Être Supérieur qui est en train de descendre sur vous.
Vous vivez un processus, soyons clairs, d’Ascension collective, avec vos choix individuels par des actions.
Il ne s’agit pas de tout accepter encore une fois mais d’affirmer vos choix dans la Paix, par vos actions, par vos gestes, par vos échanges, par votre preuve personnelle de fraternité.
C’est une ouverture de cœur aussi que ce moment-là. C’est une ouverture à la Source.
C’est peut-être aussi parfois pour certains d’entre vous, le fait de dire « mais finalement je ne sais pas, je ne sais pas quoi choisir ».
Quand vous ne savez pas quoi choisir, posez-vous cette question intérieurement :
« Qu’est-ce qui m’amène et amène le monde a plus de Liberté ? »
« Qu’est-ce qui m’amène et amène le monde à plus d’Egalité ? »
« Qu’est-ce qui m’amène et amène le monde à plus de Paix ? »
« Qu’est-ce qui m’amène et amène le monde à plus de Joie ? »
Rapidement le bon chemin va se faire en vous, rapidement la Source va vous faire une proposition, une pensée comme vous l’appelez. Alors il vous appartiendra de la choisir ou non.
Bien sûr pour certains d’entre vous, cette simple pensée vous allez trouver qu’elle est énorme, gigantesque, que vous ne pouvez pas, que vous en êtes indigne, que c’est compliqué, retombant ainsi dans le joug de la culpabilité puis de la peur mais faites-vous confiance.
Si cette pensée est entrée en vous c’est qu’elle est possible, si vous faites les choix qui vont chaque jour, chaque instant et à chaque moment vers cette pensée.
Tous ces micro-choix, toutes ces micro-pensées qui vous amèneront à votre destinée car,
– en vérité, je vous le dis, aucune des pensées que vous avez n’est irréalisable.
Si vous avez une seule pensée, elle est réalisable sur un plan ou sur un autre plan, mais elle est réalisable.
Aucun de vos rêves n’est irréalisable. Celui qui vit son rêve au lieu de rêver sa vie, celui qui vit son rêve, c’est celui qui chaque jour pose les actions pour aller vers son rêve, des petites actions, des petits pas, des petites pensées mais en tout cas, moi je vous invite mes amis, personnellement et sans doute avec quelques-uns de mes frères, à la ténacité, à ne pas lâcher vos objectifs, à ne pas lâcher prise, à ne pas abandonner.
Gardez en votre esprit toute possibilité, quoi que soit le contexte extérieur.
Vous pourriez être en prison, si vous gardez en vous la pensée de la liberté, elle finirait par se concrétiser, vous finiriez par être libéré.
En laissant de côté vraiment, sincèrement chacune des pensées qui vous amènent à croire que vous êtes malade, vous pouvez guérir, chacune des pensées qui vous amènent à croire que vous êtes emprisonné, vous pourrez être libéré.
En laissant de côté ces pensées-là, non en les combattant, non en essayant de vous convaincre ou de surexposer les réalités, non, en les laissant de côté,
– j’insiste sur ce terme « laisser de côté », lâcher prise c’est ça, laissez de côté ces pensées
–, permettez-vous pendant un instant de faire d’autres choix
– permettez-vous de faire d’autres choix car la majorité de vos choix sont purement mentaux
– à l’intérieur de votre corps mental, de votre énergie alors ressentez l’énergie de votre nouveau choix, peu importe la réalité que vous croyez percevoir, mettez-là de côté j’insiste, choisissez autre chose, rêvez.
Vivez l’énergie, vivez l’émotion, c’est déjà une action que de vivre une émotion qui va dans le sens de vos désirs, c’est une action clairement entendue par l’Univers avec une grande résonance et moins vous serez séparé de tout ce qui vous entoure, moins vous serez dans le déni, plus vous aurez du pouvoir.
Entendons-nous bien, je vous redonne cet exemple de la prison.
Il ne s’agit pas d’être dans le déni et de vous dire : « En fait je suis libre, je suis libre, je suis libre » alors que tout, autour de vous, vous montre que vous êtes emprisonné.
La méthode que je suis en train de vous expliquer c’est de dire : « Même si je suis dans l’apparence emprisonné, je choisis la liberté, je vis la liberté, j’intègre la liberté en moi. C’est mon choix, là, maintenant. »
Cette liberté, même si elle est dans un cadre au début très restreint puisque c’est celle de penser simplement, je la prends clairement à 100 % : « Je choisis la liberté, j’intègre la liberté, je respire et j’émane la liberté. » Alors ce champ d’énergie va grandir chaque jour, comme une plante que vous allez arroser chaque jour et n’ayez aucun doute, ce que vous semez vous le récoltez, vous le savez depuis toujours.
Ces moments si particuliers, ces moments de reprise de pouvoir par les êtres souverains que vous êtes individuellement, sont écrits depuis toujours comme un temps de révélations, comme un temps d’énergies.
Soyez en Paix. Respectez cette Paix à l’intérieur de vous.
Je vais laisser la place à Marie pour vous donner un autre message.
La video enregistrement original est toujours disponible à cette adresse :
https://legrandchangement.com/viewproduit.asp?i_forfait=74465&i_catego=56249
Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
- qu’il ne soit pas coupé
- qu’il n’y ait aucune modification de contenu
- que vous fassiez référence à ce site https://sylvaindidelot.com
- que vous mentionniez le nom de Sylvain Didelot